lundi 28 janvier 2008

10- Hải Phòng, Hà Nội .

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Hải Phòng est une grande ville.
Nous y sommes accueillis très chaleureusement par notre famille.
La tante Ty, l'oncle Quý , le cousin Trưỏng et les cousines Thịnh,Thuý et Loan avec leurs enfants. Nous faisons leur connaissance, et nous sommes vraiment émus.
Ils nous offrent le thé. Puis nous faisons une visite
rapide de leur maison. Ensuite, nous allons dans la maison voisine chez le fils Trưỏng et sa femme.
Leurs enfants, selon les générations, sont pour nous des petits (ou grands
) frères et sœurs.







Ils ont dressé pour nous une table somptueuse!
L'ambiance du repas est animée, et très conviviale.



L'après midi, nous faisons un peu mieux connaissance avec les enfants. Malgré des règles un peu différentes, le jeu des petits chevaux est international!



Ce ne sont pas des noisettes, mais des châtaignes grillées.


Vers seize heure, nous devons repartir à Nội. Un peu les larmes aux yeux, nous leur faisons nos adieux; c'est très court.


Nous arrivons en pleine heure de pointe à Nội dans les embouteillages.
Nous rejoignons l'hôtel habituel où nous retrouvons la moitié de nos bagages restés en consigne.

Nous comprenons plus tard qu'un problème est survenu dans la réservation de nos chambres. Il en manque une, mais finalement,grâce aux négociations de
mamie Cùc et tata Françoise, le problème s'arrange; elles sont logées dans un hôtel proche, différent du notre.
Le soir venu, nous nous donnons tous rendez vous dans la chambre de Mick et Peter pour casser la croûte entre nous, en sortant tout ce que chacun a glané dans la journée. Nous dégustons, du
banh
chưng, (un gâteau de riz gluant , friandise traditionnelle vietnamienne lors de la fête du Têt), de la noix de coco fraîche, des fruits séchés, des mangues, des bananes (évidemment!) et des biscuits de là-bas....



Nous partons ensuite nous promener dans les rues découvrir un marché de nuit. Il est très animé, et sans nous en rendre compte, nous le prenons dans le sens contraire du "courant", ce qui nous vaut d'être bousculés plus que nous le serions si nous nous en étions aperçus avant! Aucune insulte, mais ils doivent se dire en eux même ." Trời ơi!" (ça se prononce phonétiquement zoï , expression largement employée chez les Nicolas).
Nous y trouvons de tout. Des objets ouvragés contrastant avec les plus médiocres.
Les scooters n'hésitent pas à s'engager dans la rue pourtant saturée de monde... et ça passe. Je me demande toujours comment.
Bien entendu, comme à l'aller, nous nous perdons aussi sur le chemin du retour...
Nous rentrons très tard à l'hôtel, les pieds en compote.
Nous nous couchons épuisés, pour nous lever très tôt une fois de plus.

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